Des œuvres d’art à ne pas manquer à Walt Disney World

Walt et Lillian Disney étaient de grands amateurs d’art. De leurs multiples voyages un peu partout dans le monde, ils ont rapporté des œuvres d’art, mais surtout, des idées que Walt a intégrées dans son parc Disneyland et dans ses plans pour Walt Disney World.

Malgré toutes les transformations qui ont été faites dans les années antérieures, les œuvres d’art, non jamais été supprimé.

Voici 5 œuvres d’art à ne pas manquer et qui méritent un moment d’attention à Walt Disney World:

The Grand Canyon Concourse Mural au Disney’s Contemporary Resort

Mary Blair est peut-être le premier nom qui vient à l’esprit lorsque les gens pensent à l’art Disney, et pour cause. Elle était l’artiste préférée de Walt Disney. On peut trouver sa touche personnelle dans les attractions « It’s a Small World » ainsi que dans les films Les Trois Caballeros, Alice au pays des merveilles et Peter Pan.

L’une des contributions les plus remarquables de Mary Blair à Walt Disney World a été la fresque murale du Grand Canyon Concourse, que l’on peut admirer au Disney’s Contemporary Resort. Lors de la construction et de la conception de l’hôtel, il est devenu évident qu’il fallait quelque chose pour adoucir le style moderne de l’architecture du bâtiment. Blair a résolu le problème avec une interprétation en céramique sur neuf étages du Grand Canyon.

Le résultat est une œuvre d’art époustouflante qui, selon certains, pourrait être « la fresque moderniste la plus vue au monde ».

The Spaceship Earth Mural à EPCOT

Avant d’entrer dans la «Boule» qui abrite l’attraction Spaceship Earth, regarder à votre droite pour admirez la magnifique fresque murale qui représente la communication depuis les premiers jours de l’humanité jusqu’à nos jours.

L’œuvre a été créée par l’artiste italien Claudio Mazzoli qui a déjà déclaré qu’il s’était posé bien des questions lors de la création : « D’où vient l’homme ? » Où allons-nous ? Que recherchons-nous ? Et je pense que la réponse est le pouvoir. Le pouvoir de l’univers. Le bien de l’univers. C’est la vie, l’électricité, c’est de là que nous venons et je pense, où nous voulons aller. Dans cette peinture, j’ai essayé de faire comprendre aux gens comment l’homme communique, le sens de la communication, à quel point la communication est importante et puissante. »

Party O’Saurus (Disney’s Animal Kingdom)

C’est Gregory Warmack qui a créé cette étonnante œuvre d’art populaire au Disney’s Animal Kingdom dans la section Dinoland U.S.A. Cet artiste est surtout connu pour ses œuvres avec des capsules de bouteilles.

Cette figurine fossile se trouve juste à l’extérieur de l’ancienne station-service de Chester et Hester et comprend deux personnages, un grand dinosaure et un autre plus petit. Cette pièce est composée de matériaux recyclables comme des bouteilles en verre, des perles de bijoux, des morceaux de métal et de nombreux autres éléments considérés des déchets.

En plus de son travail à Walt Disney World, les œuvres de Warmack ont ​​été exposées dans des lieux tels que le Smithsonian American Art Museum, la Halle Sainte Pierre à Paris et Intuit : The Center for Intuitive and Outsider Art à Chicago.

Totem (Pavillon du Canada à EPCOT) 

Boxley a sculpté un mât totémique pour le poste de traite du pavillon dans les années 1990, et a sculpté deux nouveaux mâts totémiques pour le pavillon en 2017.

Le mât totémique de l’aigle raconte un conte culturel dans lequel un garçon trouve un aigle pris dans un filet sur une plage et le libère. Des années plus tard, lorsque la faim frappe la tribu du garçon, il se promène sur la même plage et découvre l’aigle qui l’attend avec de la nourriture pour le remerciant pour sa gentillesse des années auparavant. Le bas de ce totem raconte également comment une famille de castors a enseigné à une famille humaine l’importance de traiter toutes les créatures, humaines et animales avec respect. Le totem de la baleine raconte l’histoire du premier potlatch, une fête cérémonielle célébrée par les Nagunaks et les créatures du monde sous-marin.

Igbo Ijele Mask (Disney’s Animal Kingdom Lodge)

La mascarade Ijele est une tradition du peuple Igbo du Nigéria, et est considérée comme un « élément culturel immatériel nécessitant une sauvegarde urgente » par l’UNESCO. Une description dans les archives de l’UNESCO indique : « Dans de nombreuses communautés de l’État d’Anambra, dans le sud-est du Nigéria, les célébrations, les cérémonies funéraires et autres occasions spéciales pendant la saison sèche pour évoquer la fertilité et une récolte abondante comportent la représentation de la mascarade Ijele. »

Le masque Ijele est une grande structure, constitué de plusieurs figures symboliques (hommes, animaux, personnages masqués). Il représente des scènes des mondes des hommes, des esprits et des animaux. 

L’un de ces masques est situé dans le hall de l’hôtel Disney’s Animal Kingdom Lodge. D’une hauteur de seize pieds et d’une largeur de huit pieds, c’est une création impressionnante, qui, selon Disney, est « l’une des premières de son genre à quitter le Nigéria ».

Pour donner un contexte à l’utilisation du masque, Leslie Tate Boles, conservatrice chez Walt Disney Imagineering, déclare : « La personne qui porte le masque, qui se prépare physiquement et spirituellement pour l’événement, passe sous la structure, aidée par des adeptes pour stabiliser le masque. L’orchestre Ijele, composé d’une ligne de batteurs, de flûtistes, de danseurs et de chanteurs, prépare la foule. Le masque est précédé d’un danseur et suivi de l’orchestre. Il commence son mouvement lentement, mais pendant les 15 minutes de danse cérémonielle, l’Ijele est toujours majestueux, renforçant son image de roi des masques et de figure d’autorité mystique suprême. L’Ijele se déplace avec agilité tandis que son grand corps avance, recule, d’un côté à l’autre et effectue des tours semi-circulaires de gauche à droite, revenant dans un enclos.

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